La semaine de 4 jours expérimentée par certaines entreprises suscite un intérêt croissant. Ce modèle vise à concentrer les heures de travail sur quatre jours sans réduire le salaire, offrant ainsi un jour supplémentaire de repos. Les résultats des premières expérimentations montrent une baisse notable de l’absentéisme et une amélioration de la qualité de vie au travail.
Cependant, la généralisation de ce modèle pose des défis. Son adoption nécessite une réorganisation profonde, notamment pour les entreprises en flux tendu. Il peut également accentuer la pression sur les salariés, qui doivent maintenir un même niveau de productivité en moins de temps. Cependant, son adoption généralisée reste limitée.
Depuis la crise sanitaire de 2020, le télétravail s’est progressivement imposé dans le quotidien. Les salariés, notamment les plus jeunes, privilégient désormais un meilleur équilibre entre vie professionnelle et vie personnelle. L'absence de flexibilité, une surcharge de travail ou un environnement jugé peu motivant figurent parmi les causes majeures de désengagement et d’absentéisme.